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Le dimanche 9 février, le peuple suisse acceptait d'un cheveu l'initiative de l'UDC dite «contre l'immigration de masse», choquant les progressistes. Entre le casse-tête de sa mise en œuvre et les conséquences qu'elle a sur les relations entre la Suisse et l'UE, on n'a pas fini d'en entendre parler.

Un compromis pour réguler l’immigration

Après-9 février • Professeure à Fribourg, Astrid Epiney en est convaincue: le vote suisse anti-immigration du 9 février dernier ne sonne pas forcément le glas de la libre circulation des travailleurs avec l’Union européenne.

Agora

Quelle Europe de la recherche?

APRÈS-9 FÉVRIER • En déplorant la mise à l’écart de la Suisse des programmes européens Erasmus et Horizons 2020La Confédération vient de débloquer 22,7 millions de francs pour les séjours Erasmus; le flou persiste pour Horizons 2020. (Le Courrier du 17 avril)., on oublie – estime Antoine Chollet – que les principes qui sous-tendent ces programmes nuisent à l’indépendance et à l’originalité de la recherche universitaire.

Agora

Le nationalisme scientifique

UNIVERSITÉ • L’initiative de l’UDC «contre l’immigration de masse» ne peut pas être résumée à une initiative anti-Erasmus, martèle la CUAE. Pour l’organisation étudiante, c’est la lutte contre la discrimination des étudiants étrangers non issus de l’Union européenne qui doit être prioritaire.

Polémique à propos d’Erasmus

SUISSE-UE • Des révélations sur des négociations budgétaires ont semé le doute sur les vraies raisons qui ont mené l’Europe à écarter la Suisse des programmes européens.