Pour son quatrième roman, Septembre éternel, Julien Sansonnens entrecroise le destin d’un homme et celui d’un pays, la France, tous deux en fin de course.
Ode à la nature, fresque intime où l’histoire russe s’invite par petites touches, le deuxième roman
de Gouzel Iakhina justifie son ambition par l’éclat poétique de sa prose.
Inspiré par la navigation en mer, le premier opus de la revue Sillages réunit reportages dessinés, fusains, gravures comme autant de regards croisés sur le Grand Nord.
Le premier roman de la Marocaine, Prix Orange du livre en Afrique (POLA), est une ode magistrale à la libération des femmes assignées à résidence maritale et à haute marginalisation sociale.
Entre émerveillement et dénonciation de sa marchandisation, le foot devient une matière à rêver et un filtre pour penser les dérives de notre société sous la plume d’Olivier Guez.
Ils et elles sont jeunes, publient ou performent, et sont organisé·es en collectifs d’auteur·es. La relève littéraire romande conjugue avec bonheur l’écriture au pluriel. Portrait de trois...
Avec Monsieur Picassiette, Edgardo Franzosini nous livre la biographie libre de Raymond Isidore, un architecte naïf de la trempe du Facteur Cheval qui a érigé une «cathédrale de détritus».
Jon Ferguson revient sur la pandémie de Covid-19 dans un nouveau livre, «2020» Réflexions. L’ouvrage fait suite à son Journal du Corona publié l’an dernier.
Etablie à Moscou depuis quinze ans, la traductrice va-et-vient entre les langues et les cultures pour donner voix à la nouvelle génération littéraire russe.