Le care, communautaire et salutaire
Marijpol revient aux éditions Atrabile avec La Harde, une histoire d’amies colocataires emplie d’une généreuse bizarrerie.
Traduction
Les mots de la traductrice – Marion Graf
Marion Graf revient sur la traduction des Buveuses de larmes de Robert Walser.
Le mot du traducteur – Walter Rosselli
Walter Rosselli souligne les particularités de la prose poétique d’Asa Hendry, une voix narratrice où la vision de l’enfant d’autrefois se mélange à celle de l’adulte d’aujourd’hui, dans un...
Quête d’espoir au Caucase
Nana Ekvtimishvili situe le cœur de son roman Le Verger de poires en Géorgie, son pays.
Kim de l’Horizon, hêtre ou ne pas être
Hêtre pourpre est un cri queer et polyphonique lancé du haut d’un arbre généalogique où dorment des sorcières.
Nouvelles sèves
Parus en allemand, Hêtre pourpre et Neon Pink & Blue déconstruisent la binarité de genre véhiculée par la langue. Leurs traductions en français soulèvent des enjeux passionnants.
Prendre langues
Sa vie est un brouhaha byzantin. Traductrice de l’hébreu moderne, Rosie Pinhas-Delpuech nous accueille en son château provisoire.
Mieux gérer les textes en allemand
La pandémie a forcé de nombreux secteurs à passer à la gestion de crise, y compris la communication.
Personnages en quête de hauteur
Avec Rusty Brown, le dessinateur Chris Ware déploie une fresque magistrale et kaléidoscopique.
«Typique de Seldwyla»
La proverbiale bourgade s’ouvre aux lecteurs francophones, un siècle et demi après son édification par Gottfried Keller. Visite.
Rainer Maria Rilke, d’un jeune poète à l’autre
Deux éditions invitent à relire les célèbres Lettres à un jeune poète, l’une dans les mots patinés de Gustave Roud, l’autre en dialogue épistolaire.
«La traduction est un noble bricolage»
Au Livre sur les quais, Josée Kamoun donnait une masterclass autour de Walker de Robin Robertson, qu’elle vient de traduire.
«Traduire, c’est enrichir»
Porte-voix des littératures anglo-saxonnes, traductrice de George Orwell, Jonathan Coe et Philip Roth, Josée Kamoun s’offre un automne helvétique.
Le mot de la traductrice – Joëlle Bélard-Ruchonnet
Pour Joëlle Bélard, la traduction de «Dejar Caer» («Absence») de Juliana Restrepo se devait de respecter la proximité créée entre le lecteur et la narratrice dans cette épreuve rarement abordée du...
Du cœur du monde au monde entier
Etabli à Bienne, Arno Camenisch a quitté le village grison de son enfance mais ne cesse d’y revenir, en romans sonores comme un blues universel. Rencontre.
Marion Graf, jeu de rôles
Elle a donné voix en français à Robert Walser, parmi d’autres grands auteurs alémaniques et russes. Critique de poésie et passeuse engagée, elle reçoit jeudi le Prix spécial de traduction de l’OFC.
Le mot de la traductrice – Chloé Manz
Comment faire ressentir l’hésitation entre le rire et l’horreur qui caractérise Native Tongue, de Suzette Haden Elgin, où les femmes sont prises au piège de la domination masculine par leur...
Le mot de la traductrice – Eva Antonnikov
Eva Antonnikov a traduit des poèmes de Daniele Pantano: un «Inédit» réunissant un auteur et une traductrice qui, tous deux, ne s’expriment pas dans leur langue «première»? Conjonction étonnante!
Le mot de la traductrice – Gaëlle Cogan
Gaëlle Cogan explique comment traduire Amy Clampitt, c’est tenter de recréer une forêt dense, sans en effacer l’étrangeté ni la rugosité.
Le mot de la traductrice
A partir de trois mots très simples situés au début de Celle qui suit, d’Ivna Žic, Camille Luscher montre les multiples possibles dans le choix d’un ton, d’un registre, d’un...
«Traduire répond à une émotion»
Traducteur de poésie et poète, Jean-Baptiste Para est distingué par le Programme Gilbert Musy. Entretien.
Dante retraduit
C’est un poète, Michel Orcel, qui a transposé en français et la musique et le sens saisissant de La Divine Comédie.
«Traduire, c’est créer»
Le Centre de traduction littéraire de Lausanne a reçu jeudi un Prix spécial de médiation de l’Office fédéral de la culture. Une reconnaissance qui contribue à placer la traduction au cœur de la...
«Kafka, c’est une voix»
Le germaniste Jean-Pierre Lefebvre vient de retraduire l’œuvre de Kafka. Il a reçu en novembre dernier un Prix lémanique de la traduction.
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