Avec l’ensemble contemporain Babel, le collectif genevois explore les points de rencontre entre activités musicales et agraires. Dans ses «Polytopies», les contraintes font naître la poésie.
Pour sa rentrée, la Case à chocs convie le public à affronter peurs et angoisses dans une déambulation cathartique. Les Echos du Chaos comme si vous étiez.
Le collectif mettra en mots et en scène un chapitre imaginaire d’un livre inachevé de l’écrivain italien, jeudi soir, à la Maison Rousseau et littérature à Genève.
A Lausanne, Le Chant du levain est une performance «multisensorielle» qui sublime l’artisanat boulanger et donne envie de manger du bon pain. Entretien avec ses concepteurs.
A La Bâtie, le metteur en scène Igor Cardellini interroge la consommation de masse avec L’Age d’or, une visite guidée théâtrale du centre commercial de Meyrin.
Pour SpO2, la performeuse Anne Rochat et son frère Jean seront immergés pendant deux heures dans les eaux du Léman, aspirant à tour de rôle l’air d’un seul et même tuyau.
Le Prix suisse de la Performance va cette année à deux artistes. L’une des gagnantes est la romande Léa Katharina Meier pour son spectacle « Tous les sexes tombent du ciel ».
Entre danse, théâtre et acrobatie, Les Promesses de l’incertitude pousse le goût du risque à son paroxysme. Rires et frayeurs assurés au Loup, à Genève, jusqu’à dimanche.
A Genève, depuis le 23 mars, un collectif propose des happenings furtifs. Une perfo aura lieu ce jeudi à 20h30 à l’angle de la rue Necker et de la Place des 22 Cantons.
Dimanche soir, pour la quatrième fois, les Genevois étaient invités à alléger leur souffrance administrative. Performance artistique d’Elena Montesinos, le Bûcher des endettés pourrait se propager.
C’est une image singulière qui attendait mardi les visiteurs errant dans les étages de la Bibliothèque de la Cité, à Genève. Dissimulés entre les différents rayons, six performeurs récitaient le...
Chairs libérées et vibrantes, malmenées ou exaltées, «Un corps à soi» célèbre les courbes, les stries et les poils au TU. Agathe Hazard Raboud s’y livre tout entière.
Apparue il y a plus de quarante ans sur la scène No Wave new-yorkaise, occupée depuis à ferrailler contre le patriarcat, elle revient dans Big Sexy Noise lundi à Genève. Entretien.