Ce printemps, plusieurs institutions romandes accrochent l’art de leurs scènes régionales. Une tradition germano-alémanique peu ancrée ici, toujours très appréciée du grand public.
A Paris, le festival Visions d’exil met en lumière l’expérience de la quarantaine sous le prisme d’artistes dont l’exil est «une forme de confinement permanent».
L’artiste Daniela Keiser, l’architecte Peter Märkli et l’auteur et curateur Philip Ursprung sont les lauréats du Grand Prix suisse d’art/Prix Meret Oppenheim 2017.
À Toulouse, le Printemps de septembre essaime son art contemporain à travers la ville. Devenue biennale, la manifestation est dirigée par Christian Bernard, ancien directeur du Mamco.