Mille et un confinements
A Paris, le festival Visions d’exil met en lumière l’expérience de la quarantaine sous le prisme d’artistes dont l’exil est «une forme de confinement permanent».

Arts
«Quand Judith Depaule m’a parlé du thème ‘d’un confinement à l’autre’, j’ai immédiatement pensé aux prisonniers politiques et d’opinion en Syrie. Eux vivent un vrai confinement depuis près de dix ans», raconte Omar Ibrahim, peintre syrien vivant aujourd’hui à Bayonne, à propos de l’intitulé de la quatrième édition du festival parisien Visions d’exil, organisé par l’Atelier des artistes en exil (aa-e) jusqu’au 6 février 2021. Créé en janvier 2017, l’aa-e
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Testez-nous
3.- pour un jour