Journal d’une émancipation
Artiste plasticienne, Gabriella Zalapí revisite un passé familial cosmopolite dans un premier roman qui plonge dans l’intimité d’une femme étouffée par sa vie bourgeoise.

«Ce matin, lorsque j’ai ouvert les yeux, j’étais incapable de bouger.» Dans le Palerme des années 1960, au cœur de la haute bourgeoise, Antonia s’étiole et étouffe entre un mari qui la méprise, un fils qu’elle n’arrive pas à aimer et une Nurse glaciale. Quand elle partage ses doutes à son grand-père bien-aimé venu en visite, celui-ci prend le parti du mari, la renvoyant à sa position d’épouse qui doit
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