Autrice et journaliste, Elena Sartorius a publié Une Baie tranquille à Porto Rico. La narratrice, forcée de se reposer sur cette île après un accident, livre son avis sur le monde et la vie.
Avec un roman et les récits de vie d’immigrantes et immigrants italiens à Lausanne, Emmanuelle Ryser double les occasions de partage autour de l’écriture.
Marieke Lucas Rijneveld explore le deuil et la violence des non-dits dans l’extraordinaire Qui sème le vent. Poétique et dérangeant, le roman a reçu l’International Booker Prize 2020.
Partir ou rester en Hongrie? Avec l’Anatomie d’une décision, Anna Szücs brosse un tableau personnel d’un moment charnière pour l’histoire d’un pays et d’une famille.
La petite dernière, c’est Fatima Daas, un autoportrait fragmentaire, un chant rythmé sur l’identité, le genre, l’origine, le lien entre amour et écriture.
Heike Fiedler imagine la rencontre fictive entre quatre créatrices à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Une méditation fragmentaire sur la guerre et la paix tissée à la réalité contemporaine.
Cette chronique littéraire a été écrite par une étudiante en Lettres de l’université de Genève, dans le cadre de l’atelier d’écriture animé par Eleonore Devevey.
Dans Tout est toujours beau, premier roman de la jeune Zurichoise Julia Weber, deux enfants opposent leur imaginaire à la défection d’une mère. Bouleversant.
Artiste plasticienne, Gabriella Zalapí revisite un passé familial cosmopolite dans un premier roman qui plonge dans l’intimité d’une femme étouffée par sa vie bourgeoise.
Dans son premier roman Les nuits sont calmes à Téhéran, Shida Bazyar retrace le quotidien de l’Iran depuis la révolution islamique à travers les points de vue d’une famille.
Une secte clandestine et des chasseurs de trésors vont et viennent dans la Bulgarie du Sourire du chien. Premier roman publié par la journaliste et archéologue bulgare Dimana Trankova, Le Sourire du chien...