A mi-parcours des négociations salariales, l’Union syndicale suisse (USS) lance un cri d’alarme. «Sous pression comme jamais, les salaires réels risquent de reculer», déplore son président, Pierre-Yves Maillard. L’organisation syndicale a fait le point hier devant la presse à Berne. Si certains employeurs, comme ceux actifs dans l’horlogerie, ont compris l’urgence de la situation, d’autres […]
Au moins 4500 francs
Face à la baisse du pouvoir d’achat, l’Union syndicale suisse exige une hausse des salaires de 4 à 5% en 2023 et une revalorisation pour tout titulaire d’un CFC. Le patronat ne veut pas en entendre parler.

Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné?
Accès 1 jour
3.-