Dès l’Ouverture aux surprenantes dissonances Lutoslawskiennes et à la sonorité instrumentale piazzollienne, la version sédunoise de La Belle Hélène assume un glissement provocateur vers une liberté d’interprétation jubilatoire, tant musicale que scénographique. De fait, tout au long des rebondissements cocasses qui jalonnent les presque trois heures d’affabulations mythologico-parodiques du grand Jacques Offenbach, le pari d’une […]
Offenbach, version XXIe siècle
Depuis 2007, la Ferme Asile accueille une biennale lyrique destinée aux jeunes professionnels et autres chanteurs amateurs. Après l’Orfeo de Monteverdi, place à La Belle Hélène d’Offenbach, jusqu’au 23 septembre.

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