Avec Quand vient l’automne, François Ozon renoue avec sa veine «amorale», dans un film trouble qui évoque autant Simenon que Chabrol ou Hitchcock.
Avec Mon Crime, François Ozon modernise une pièce de 1934 pour plaider la cause des femmes, avec un humour parfois maladroit.
Avec Peter von Kant, François Ozon revient à Fassbinder et adapte une de ses œuvres majeures, Les Larmes amères de Petra von Kant, en inversant les genres. Interview.
Entre histoire d’amour et enquête, Ete 85 de François Ozon est une réussite.
Dans Grâce à Dieu, François Ozon relate le combat des victimes du prêtre pédophile Bernard Preynat. Une ode à la parole libératrice, dont la sortie était menacée en France.
François Ozon évoque la genèse de Grâce à Dieu et les menaces qui pesaient sur sa diffusion. Entretien.
Le cinéaste français se prend pour David Cronenberg avec «L’Amant double», un thriller psycho-sexuel alambiqué qui frise le ridicule.