Cet été, la rédaction du Courrier a exploré les liens méconnus entre la Suisse et la révolution d’octobre 1917. Un pan de notre histoire le plus souvent ignoré, à découvrir dans ce dossier.
Série d’été «Octobre helvétique»
La croix contre la faucille
(6/6) Dans sa lutte contre le bolchévisme, l’Entente internationale anticommuniste (EIA) fondée à Genève en 1924 a aussi tenté de mobiliser les milieux religieux, via sa commission Pro Deo.
Quand les Soviets tentaient de séduire les Suisses
(5/6) Durant l’entre-deux-guerres, l’ URSS s’essaie à la diplomatie culturelle. En Suisse, Sergueï Bagotski est chargé d’influencer l’opinion publique en proposant livres, spectacles, conférences et films russes.
Quand la gauche suisse s’est scindée en deux
(4/6) Par deux fois, en 1920 et 1921, la base du Parti socialiste suisse refuse d’adhérer à la IIIe Internationale. Une partie des militants s’en va fonder le Parti communiste suisse.
Octobre court sur les rails
L’ami suisse de Lénine
(2/6) Par deux fois, le Zurichois Fritz Platten a contribué de façon décisive à changer le cours de la Révolution russe. Son histoire tragique est pourtant méconnue en Suisse.
La Suisse repaire d’opposants au tsar
Bien avant le passage de Lénine, la Confédération a été le refuge privilégié de nombreux révolutionnaires russes, anarchistes, populistes ou marxistes.
Sur les traces de Lénine et de la Karoujka
(1/6) Terre de refuge pour les révolutionnaires en exil, Genève fut, au tournant du XXe siècle, la plus russe des villes suisses. Visite guidée.