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Odile Cornuz, le goût du partage

Des écrivain·es claquemuré·es dans leur tour d’ivoire? L’autrice neuchâteloise, qui pratique toutes sortes de dispositifs pour faire vivre les textes, incarne l’opposé de cette image d’Epinal.
Odile Cornuz, le goût du partage 1
Dans son deuxième roman, Qui n’est plus, la confession d’un fils à son père décédé est l’occasion d’une mise à nu existentielle. JEAN-PATRICK DI SILVESTRO
Livres

Née en 1979 dans le canton de Neuchâtel, où elle vit toujours, Odile Cornuz a publié des recueils de nouvelles et des romans, écrit des pièces pour le théâtre et les ondes. Son premier roman, Fusil (En Bas, 2022), vient d’être traduit en italien, et le deuxième, Qui n’est plus, sort ce mois aux nouvelles […]

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