Les élu·es n’ont pas tranché la question du plafonnement et de la transparence des salaires des directions des établissements publics autonomes. Les primes ne seront pas touchées.
Il y a trois ans, le public avait appris que le directeur de l’Aéroport touchait plus de 480'000 francs annuels, celui des HUG près de 380'000 francs et la directrice de l’Imad, 375'000 francs, davantage que les salaires des conseiller·ères d’Etat. KEYSTONE/IMAGE D'ILLUSTRATION