Le Groupement romand d’études des addictions a présenté ses recommandations pour la fin de scènes ouvertes, plaidant pour une approche globale sociale plus que sécuritaire.
Selon le GREA, la politique des quatre piliers (prévention, traitement, réduction des risques et répression) est excessivement déséquilibrée.
«Sur les 900 millions consacrés à cette politique, plus de 80% vont vers la répression.» KEYSTONE