Terminé, le Manifeste incertain de Frédéric Pajak? C’est une magistrale somme d’encre noire et de radieuse mélancolie que l’on referme à regret.

FRÉDÉRIC PAJAK. Le lauréat du Prix suisse de littérature aime à se manifester aux frontières du lisible et du visible. Ses éditions, Les Cahiers dessinés, font l’objet d’une grande expo à La Halle Saint-Pierre, à Paris.

LIVRES L’écrivain et dessinateur franco-suisse sort le deuxième tome de son «Manifeste incertain», splendide roman graphique, autoportrait indirect et mélancolique.

Frédéric Pajak désenfouit l’album de famille dans le tome 6 du Manifeste Incertain. En même temps que paraît un livre d’entretiens et que ses dessins s’exposent au Musée d’art de Pully.

Le 8e tome de son Manifeste incertain est une «cartographie du souvenir» où Frédéric Pajak entremêle voyages, fictions et retour sur Ernest Renan et Paul Léautaud. Méditatif et vivifiant.

ESSAIS Frédéric Pajak lance son «Manifeste incertain». Le premier tome évoque la figure de Walter Benjamin, exilé permanent. Autre imprécateur de l’Entre-deux-guerres, Kurt Tucholsky fait l’objet d’une réédition.

Alors que Frédéric Pajak lui consacre le 7e tome de son Manifeste incertain, ses Grands poèmes paraissent aux Editions des Syrtes. Gros plan sur l’immense poète russe.