Sandrine Pelletier, mikado brasero à la Ferme-Asile
La plasticienne lausannoise installe une formidable cascade de poutres calcinées dans le centre d’art contemporain sédunois.

Expo
Il fallait oser: sous l’imposante charpente de la Ferme-Asile, à Sion, Sandrine Pelletier a produit un double, négatif de l’endroit lui-même. Une structure miroir en mauvaise posture car largement carbonisée, dont on soupçonnerait presque qu’elle fume encore, sous les spots aux effets dramatiques de la grange. Celles et ceux qui connaissent la plasticienne le savent, côté matières malmenées, elle n’en est pas à son coup d’essai. Impossible d’oublier ses longues
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