Library Genesis, Sci-Hub ou le défunt Gigapédia: autant d’adresses web méconnues du grand public, car quasi invisibles dans les résultats des moteurs de recherche, mais sujettes à d’intenses controverses. Fantasme pour les uns, cauchemar pour les ayants droit, les «bibliothèques clandestines» d’internet, appelées «shadow libraries» en anglais, contiennent des dizaines de milliers de textes piratés. […]
Le savoir diffusé en libre accès
Les «shadow libraries» proposent discrètement des milliers de documents piratés.

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