A Kassel, l’art a un avis sur le monde, et il le donne
Jusqu’au 17 septembre, la 14e documenta décline notre époque en plusieurs centaines d’œuvres d’art. Puissant et pertinent.

Lorsqu’elle se penche sur notre époque, la documenta 14 n’a pas peur de prendre position. Après un premier volet athénien au printemps, la manifestation confirme sa dimension politique, installée pour l’été à Kassel – une posture engagée qui insupporte une partie du monde de l’art. Dommage, car il y a beaucoup à apprendre de la proposition du directeur polonais Adam Szymczyk. Et contrairement à la gentille Biennale de Venise de Christine Macel,
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