Dans les années 1960, en marge des majors japonaises, il y avait l’Art Theatre Guild, une société de production et de distribution indépendante d’où sortit la très prolifique et séditieuse «nouvelle vague japonaise» (Oshima, Imamura, Terayama). A la marge de cette marge, on trouvait pourtant plus radical encore: des cinéastes ouvertement politisés comme Koji Wakamatsu, […]
Le magicien de l’avant-garde
Deux cinéastes japonais seront à l’honneur dès mercredi au Lausanne Underground Film & Music Festival. Katsu Kanai a droit à une rétrospective, tandis que Sono Sion fait l’ouverture avec son «Bad Film».
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