Né en 1968 au Gabon, ce diplomate de carrière veut faire du livre le moteur de sa vie comme la clé de la nouvelle Afrique, qu’il appelle de tous ses vœux dans
son nouveau coup de sang romanesque.
Dans un poème-flux écrit d’ue traite dans une résidence d’écriture, Thierry Raboud illustre la pente glissante dans laquelle s’engage la survie climatique de notre planète.
Dans un roman fortement autobiographique, Anthony Passeron farfouille dans la mémoire familiale et collective, dans ce qui compose sa fragilité et sa nécessité.
Curieux réquisitoire contre l’intolérance et l’entre soi, Il n’y pas de Ajar de Delphine Horvilleur est aussi une déclaration d’amour à Romain Gary / Emile Ajar.
Ecriture fluide, riches personnages, rebondissements nombreux entre la Suisse et la Tunisie, La Nièce du taxidermiste de Khadija Delaval emporte dans son flux impétueux, mais parfois trop rapide.
L’autrice aligne sans temps mort des recueils de textes incisifs et jubilatoires. Le dernier en date postule que Notre besoin de culotte est impossible à rassasier.
Jean-Blaise, matou attachant, se prend pour un oiseau. Par Emilie Boré et Vincent, un bel album sur l’acceptation de la différence, parmi notre sélection de sept livres à mettre sous le sapin.
Le projet «Ecrire, encore» met en lien des écrivain·es exilé·es avec leurs pairs dans les pays d’accueil, afin de favoriser rencontres et traductions. Les premiers tandems se sont formés en Suisse...
Dans Traduire Hitler, le traducteur français Olivier Mannoni fait le récit de dix années de questionnements et de face-à-face avec Mein Kampf. Une aventure passionnante et éprouvante.
Avec les brèves «pas exactement bucoliques» de son recueil Quatre saisons, plusieurs lunes, le poète jurassien établi à Fribourg se détourne du tragique pour accéder à une inattendue ...
Michel Abou Khalil analyse le rôle du théâtre pour panser les plaies d’un Liban traumatisé par les conflits. Il évoque son essai avant le vernissage samedi à Genève.