Entre 19 et 23 millions de tonnes de déchets plastiques aboutissent chaque année dans les lacs, les rivières et les mers. En cause, notamment, les plastiques à usage unique.
Les incendies qui ont dévasté l’Australie en 2019-2020 ont alimenté l’important phénomène météorologique La Nina avec des conséquences globales importantes.
Au terme de la COP15, qui se tenait à Montréal, plus de 190 pays, dont la Suisse, ont accepté adopté une feuille de route visant notamment à protéger 30% de la planète d’ici 2030.
S’appuyant sur son rapport publié ce mardi, Greenpeace exige «un traité mondial ambitieux» sur le plastique. La multinationale basée à Vevey «progresse» d’un rang pour se placer en 3e position.
Tandis que ceux qui orchestrent l’économie carbonée croulent sous les bénéfices, l’écologie demeure pensée en termes de morale individuelle. Mickael Correia remet les pendules à l’heure.
Les lacs et les cours d’eau voient leur qualité s’améliorer, mais il s’y trouve encore trop de micropolluants. Le réchauffement climatique nuit à la diversité de la faune et de la flore.
Une étude menée en Autriche révèle que plus de 40 kilos de nanoplastiques par année et par kilomètre carré tombent sur les sommets alpins. Certaines de ces particules ont parcouru 2000 kilomètres.
Jusqu’au 17 octobre, le Festival du film vert propose 250 projections dans quatre-vingts villes de Suisse et de France, dont le dernier documentaire du Genevois Daniel Künzi.
Le Néerlandais Piet Oudolf a profondément ébranlé les codes du paysagisme. Sur le campus Vitra, proche de la frontière suisse, il signe l’un de ses célèbres jardins naturalistes.
La canicule exceptionnelle qui sévit dans l’ouest du Canada depuis plusieurs jours et qui touche également la Californie, provoque des incendies dévastateurs.