S’appuyant sur son rapport publié ce mardi, Greenpeace exige «un traité mondial ambitieux» sur le plastique. La multinationale basée à Vevey «progresse» d’un rang pour se placer en 3e position.
Une étude menée en Autriche révèle que plus de 40 kilos de nanoplastiques par année et par kilomètre carré tombent sur les sommets alpins. Certaines de ces particules ont parcouru 2000 kilomètres.
A partir de janvier 2020, la municipalité interdira le plastique à usage unique pour les activités et manifestations autorisées sur son domaine public.
L’ONG genevoise est épaulée par des privés et la Société suisse d’étude et de protection des cétacés pour recueillir des données sur l’accumulation de plastique.