En Nouvelle-Calédonie, le peuple kanak continue de se mobiliser, malgré une militarisation de la société et la mort d’un nouveau manifestant, abattu par les forces de l’ordre le 15 août.
Un mois après le vote de la loi sur le dégel du corps électoral et l’embrasement de la Nouvelle-Calédonie, Macron a annoncé la suspension de la réforme. Mais rien n’est réglé, nous explique le...
Après la suspension du projet de loi controversé par Emmanuel Macron le 12 juin, l’île de Nouvelle-Calédonie retrouve son calme, mais les indépendantistes kanaks restent mobilisés.
En Nouvelle-Calédonie, la pandémie de Covid-19 révèle la vulnérabilité du peuple autochtone Kanak et montre la nécessité de valoriser son approche traditionnelle des soins.
La longue lutte d’émancipation des Kanak, peuple premier de l’archipel, passe aussi par un style musical unique, le kaneka, qui fait le lien entre leurs traditions et leur soif de contemporanéité.
La vente du site industriel de l’entreprise Vale à un consortium calédonien et international, qui inclut le négociant Trafigura, suscite la colère des indépendantistes et des chefferies kanak.
L’abandon d’un projet soutenu par la communauté kanak de reprise d’une usine de traitements
de nickel a déclenché de violents heurts entre manifestants et forces de l’ordre.
Depuis le XIXe siècle, l’industrie du nickel fait la pluie et le beau temps en Nouvelle-Calédonie, territoire français d’Océanie. Mais lassés par ses dégâts, des jeunes ont bloqué un site minier.