
Les musiques actuelles ont le blues
A Genève, un différentiel conséquent sépare le financement des musiques classique et actuelles. La mise en œuvre de la nouvelle loi sur la culture ne suffira pas à réduire l’écart.
A Genève, un différentiel conséquent sépare le financement des musiques classique et actuelles. La mise en œuvre de la nouvelle loi sur la culture ne suffira pas à réduire l’écart.
La population bâloise doit dire le 24 novembre si elle veut d’un rééquilibrage des subventions en faveur des musiques actuelles. Le débat a aussi cours ailleurs en Suisse.
Elle occupe une surface de 3000 m2 sur trois étages derrière la tour de la RTS, à Genève. L’Ecole des musiques actuelles veut mettre les sons d’aujourd’hui et de demain au cœur de la cité. Visite.
Selon une étude, la difficulté pour les artistes romands de consolider une carrière et de s’exporter de façon efficiente s’explique notamment par le manque de soutiens publics.
Depuis deux ans, la Fédération genevoise des musiques de création œuvre à une plus juste rémunération des artistes et à un rééquilibrage des subventions.
En attendant la réouverture tant espérée, les salles accueillent des résidences et diffusent des concerts en ligne. Les cantons et Pro Helvetia encouragent les projets dits de «transformation».
Une vague après l’autre, le Covid-19 a frappé de plein fouet le porte-monnaie des musiciens pros.