Le mot du traducteur
Que de silence
Le mot du traducteur – Christian Viredaz
Christian Viredaz raconte sa rencontre avec la poésie de Mercure Martini et la manière (avec une bonne dose d’inconscience) dont il a relevé le défi de traduire les vers de ce grand slameur, «un rappeur lunaire des plus aguerris, sûr de mettre au tapis quiconque oserait tenter de répondre à ses punchlines…»
Mot de la traductrice – Camille Luscher
Camille Luscher réfléchit à la manière de transmettre les connotations du «Ma Madame», employé par la bonne, en français dans le texte d’Annette Hug. Il s’agit, toujours, de «figurer plutôt qu’expliquer, quitte à transformer un tout petit peu le sens».
Le mot du traducteur – Alexandre Pateau
Traduire est toujours provisoire, rappelle Alexandre Pateau, et peut-être plus encore lorsqu’il s’agit des récits d’un maître du paradoxe comme Peter Bichsel, qu’il a côtoyé et dont il parle ici avec une grande finesse.