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Des freins aux sanctions

La Suisse peine à identifier les actifs russes bloqués pour cause de manque de transparence financière.
Des freins aux sanctions
L’oligarque russe Viktor Vekselberg, ici à gauche de Poutine en 2015, est dans le collimateur des autorités américaines. Les groupes suisses Oerlikon et Sulzer, dans lesquelles il détient ­des participations, assurent de leur côté ne pas être touchés. KEYSTONE
Russie-Ukraine

Dès les premiers jours de la guerre en Ukraine, la Suisse a décrété le blocage des avoirs de 874 personnes (oligarques et autres), et de 62 entreprises réputées proches du président russe Vladimir Poutine ou participant étroitement à l’effort de guerre russe. «Face à la tragédie en Ukraine, l’instrument des sanctions est efficace et doit […]

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