Covid-19: plus d’impact dans les quartiers pauvres
Une étude réalisée à Genève démontre que les foyers de contamination du coronavirus frappent plus durablement les zones socio-économiques défavorisées.
L’étude a mis en évidence que dans les zones plus défavorisées, souvent à plus forte densité, les clusters durent deux à trois fois plus longtemps que dans les quartiers plus aisés.
JEAN-PATRICK DI SILVESTRO-Photo prétexte