Police kenyane hors contrôle
La violence extrême et les rackets commis par la police au Kenya ont poussé les habitants de bidonvilles à s’organiser collectivement pour la justice sociale. Interview sur place.

Droits humains
A Nairobi, 60% de la population vit dans des bidonvilles souvent insalubres. Loin de pacifier ces zones minées par l’insécurité, les forces de l’ordre semblent jeter de l’huile sur le feu: «Ayant grandi dans une communauté affectée par les injustices infligées par la police et l’administration locale, j’ai décidé d’agir et de devenir un défenseur des droits humains», témoigne au téléphone Anthony Kimani Mburu, activiste du Centre pour la Justice
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