«Rien ne mérite la mort»
Exilé en France depuis 2012, Omar Youssef Souleimane raconte la révolution syrienne avortée.

Entretien
Le romancier Omar Youssef Souleimane serait-il Le dernier Syrien, titre énigmatique de son premier roman? Comme ses personnages, l’auteur a vécu, à l’âge de 25 ans, les premiers remous contrariés de la révolution syrienne. Exilé politique à Paris depuis 2012, l’ancien journaliste narre avec une franchise désarmante, et parfois violente, les espoirs déçus d’une génération «ivre de liberté». L’écrivain-poète s’exprime désormais en français, «la langue de l’avenir». Le conflit syrien
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