Les frontaliers cyclistes sont forcés de faire un détour important pour trouver une douane ouverte. Des associations écrivent à l’administration fédérale des douanes et au canton.
«Nous ne voulons pas obliger les gens à changer, alors qu’ils ont pris des habitudes responsables», explique Lisa Mazzone, conseillère aux Etats Verte et présidente de la section genevoise de l’association transports et environnement (ATE). KEYSTONE