«A travers Assange, c’est le journalisme qu’on veut domestiquer»
Le fondateur de WikiLeaks sera au cœur de «Presse (censure)», le mois d’agitation créative proposé dès ce vendredi soir à Genève. En prélude, Le Courrier a rencontré Andreas Noll, cheville ouvrière de l’offre d’asile suisse à Julian Assange.

Julian Assange
La prise de position, en avril dernier, quelques jours après que Julian Assange avait été livré à la police londonienne, avait eu un certain écho. Vingt-deux personnalités, alémaniques essentiellement, invitaient le Conseil fédéral à octroyer l’asile au fondateur de WikiLeaks, menacé d’extradition vers les Etats-Unis, pays qui lui reproche d’avoir divulgué des secrets d’Etats, dont des crimes de guerre, contre l’humanité et des surveillances illégales. «Face au risque de torture
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