Jardins secrets
Dans Grand National, Roland Buti évoque le sentiment d’étrangeté de Carlo, quitté par sa femme et dont la mère perd la tête. Où le jardin est le lieu de l’apaisement.

«J’ai voulu regarder par la fenêtre, mais je n’ai distingué que mon visage d’enfant de quarante-cinq ans dans le reflet sombre de la vitre. J’étais sidéré et déprimé, captif d’un de ces moments de vie étrange dissociés du cours normal des choses.» Carlo est dans la chambre de sa mère, qui s’est échappée de sa maison de retraite. Sa femme aussi l’a quitté et lui devient étrangère. Leur fille vole
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Testez-nous
3.- pour un jour