L’Usine nie toute complicité
Accusée par le conseiller d’Etat Mauro Poggia d’offrir refuge aux dealers, l’Usine dément fermement ces allégations. Le lieu culturel dénonce des propos “mensongers” et la criminalisation “d’actes de solidarité” contre le profilage racial de la police.

Deal de rue
Le torchon continue de brûler entre l’Usine d’un côté, la police et Mauro Poggia, son magistrat de tutelle, de l’autre. Depuis des mois la grogne enfle autour du deal de rue dans le quartier du lieu culturel autogéré, mais c’est une intervention des forces de l’ordre le dimanche 21 juillet qui a mis le feu aux poudres (lire notre édition du 23 juillet). Des membres de l’espace alternatif genevois ainsi
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Testez-nous
3.- pour un jour