Après quatre mois d’occupation, les squatters font fléchir le Conseil d’Etat qui renonce à faire un centre de détention. Mais les occupants sont priés d’évacuer les lieux.
«Nous avons grand espoir de pouvoir démontrer que notre projet mérite de devenir pérenne, mais nous n’avons reçu aucune garantie que nous pourrons rester», précise une membre du collectif. JPDS