Genève

Pas d’anonymat garanti aux victimes d’abus

Les experts mandatés dans le cadre de l’enquête sur les abus sexuels à l’école veulent convaincre les témoins auditionnés de parler à visage découvert, pour éviter rumeurs et ragots.
Pas d’anonymat garanti aux victimes d’abus
demander à des jeunes filles de se remémorer et de partager des situations difficiles avec l’un ou l’autre de leurs professeurs, au moment même où des plaignantes sont menacées, et ce sans leur garantir l’anonymat, est surréel», relève un avocat. KEYSTONE/PHOTO PRÉTEXTE
Abus sexuels

Pour lire la suite de cet article

Vous êtes déjà abonné? Connexion

Abonnez-vous
A partir de 9.50 / mois
je m'abonne
Accès 1 jour
3.-

Connexion