Les experts mandatés dans le cadre de l’enquête sur les abus sexuels à l’école veulent convaincre les témoins auditionnés de parler à visage découvert, pour éviter rumeurs et ragots.
demander à des jeunes filles de se remémorer et de partager des situations difficiles avec l’un ou l’autre de leurs professeurs, au moment même où des plaignantes sont menacées, et ce sans leur garantir l’anonymat, est surréel», relève un avocat. KEYSTONE/PHOTO PRÉTEXTE