Genève Pas d’anonymat garanti aux victimes d’abus Les experts mandatés dans le cadre de l’enquête sur les abus sexuels à l’école veulent convaincre les témoins auditionnés de parler à visage découvert, pour éviter rumeurs et ragots. mardi 18 septembre 2018 Christiane Pasteur demander à des jeunes filles de se remémorer et de partager des situations difficiles avec l’un ou l’autre de leurs professeurs, au moment même où des plaignantes sont menacées, et ce sans leur garantir l’anonymat, est surréel», relève un avocat. KEYSTONE/PHOTO PRÉTEXTE Abus sexuels Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste