Hélène Grimaud, la vie sauvage
Impérieuse et fantasque, insaisissable comme un oxymore, la pianiste française fait son retour à Gstaad. Rencontre fugace avant le deuxième de ses concerts bernois, vendredi.

Piano
En janvier dernier, on ne s’étonnait pas de la patience qu’elle imposait en prélude à son apparition – une demi-heure et deux cafés hors de prix plus tard, voici Hélène Grimaud comme un coup de vent dans le lobby de ce palace zurichois, dardant son regard de menthe glacée qui sourit pour l’excuser. Elle était en répétition avec plus imprévisible qu’elle, l’incandescent Teodor Currentzis, et déjà elle doit repartir, alors
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