Lire Corinne Desarzens, c’est se perdre. Echouer à s’orienter aux étoiles, aux éclats des insignifiances qui constituent une histoire. Puis accepter de se perdre. L’automne passé elle publiait trois ouvrages, en voici un quatrième. D’un livre à l’autre, les thèmes circulent, se font écho, portés par une prose aussi capricante qu’exigeante. Sa plume déroute avec […]
Corinne Desarzens, l’art et l’ellipse
En quelques mois, la Vaudoise a publié quatre livres. Sa poétique de la digression renvoie moins à Cendrars qu’à Cingria.
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Accès 1 jour
3.-