Maria Pérez et Solidarités devant les prud’hommes
Les quatre élus grévistes déplorent dans un journal la gestion de la crise par le parti. Dans ce contexte tendu, une charte antisexiste est en cours d’élaboration.

Conseil municipal
L’heure n’est pas à la détente du côté de Solidarités, malgré l’approche de la trêve estivale. Les quatre militants grévistes, les élus municipaux Maria Pérez, Morten Gisselbaeck, Ariane Arlotti et Tobia Schnebli, sont toujours opposés à la coordination du parti au sujet du conflit qui a éclaté en 2017 entre les deux secrétaires Maria Pérez et Pablo Cruchon (notre article du 3 mai). Le 25 juin dernier, ils l’ont rappelé
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