Claire Deutsch. Verre vide, tête pleine
La comédienne propose dès vendredi soir, avec «BourBon», un solo halluciné sur les ravages de l’insomnie (et du whisky!) sur l’esprit.

«Il faut bien lâcher les chevaux, puisque de toute façon on ne dormira pas», confesse Claire Deutsch au sortir d’un filage de sa création. Dès ce vendredi soir et jusqu’au 21 janvier, elle donne un rendez-vous aussi beau qu’éprouvant au public de Singuliers Pluriel, festival pensé par le Théâtre 2.21 à Lausanne, où les seuls en scène se croisent et se mettent en lumière. Avec BourBon, la jeune Française s’est
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