La pharma lâche la peine de mort
Des firmes pharmaceutiques prennent des mesures contre les injections létales, tandis que l’UE et la Suisse se dotent de législations plus contraignantes.

Un jeu qui n’en vaut pas la chandelle. C’est peut-être ce que se disent de plus en plus de firmes pharmaceutiques étasuniennes et européenne pour la vente de produits destinés à l’application de la peine de mort. Depuis un peu plus de cinq ans, une vingtaine d’entreprises de la pharma, dont l’étasunien Pfizer, ont décidé d’adopter des mesures pour empêcher que leurs médicaments ne soient utilisés pour exécuter des détenus.
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