Skip to content

Le Courrier L'essentiel, autrement

Je m'abonne

Killing Joke, la blague qui tue est bien vivante

Formé en 1978, l’influent groupe anglais joue samedi à l’Usine. Prophète du chaos, son chanteur dépeint un monde sans pitié dont il annonce la fin.
Killing Joke, la blague qui tue est bien vivante
Jaz Coleman JPDS
Post-punk

Certains groupes collent décidément à leur époque. Ce fut d’emblée le cas pour Killing Joke en 1980, quand sortit son premier album aux hymnes apocalyptiques – «Wardance», «Requiem» ou «The Wait». Images de déclin, prophéties d’une fin imminente, d’annihilation de l’humanité par elle-même. Force est de constater qu’à l’heure où la première puissance mondiale s’est choisie […]

Pour lire la suite de cet article

Vous êtes déjà abonné?

Abonnez-vous
A partir de 9.50 / mois
je m'abonne
Accès 1 jour
3.-