Solidarité «Nous vivons une régression terrible» Le pays semble plutôt s’orienter vers une nouvelle guerre civile que sur un génocide, analyse le journaliste Antoine Kaburahe, qui a dû s’exiler. A moins que le gouvernement négocie avec l’opposition. vendredi 27 mai 2016 Christophe Koessler Antoine Kaburahe dirige le dernier groupe de presse encore actif au Burundi. DR Burundi Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste