Jouer pour exister
La Suisse et le Rwanda s’entremêlent au fil du parcours intime délicatement dévidé par Jocelyne Rudasigwa au Théâtre 2.21.

«Je joue pour exister. Pour réveiller mon âme. J’ai choisi cet énorme instrument pour me raccrocher à la vie, pour m’enraciner. Eloigner la mort.» Des mots forts pour la contrebassiste Jocelyne Rudasigwa, seule en scène pour la première fois de sa carrière avec Raisonnances et Contretemps parce qu’il était temps qu’elle prenne la parole. Non pas qu’elle se soit tue dans les différents projets et formations collectifs auxquels elle a
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Testez-nous
3.- pour un jour