Improvisation, son et liberté
Le festival international de musique expérimentale Irtijal vient de clore sa quinzième édition consécutive. Au Liban, la scène de l’improvisation libre carbure au système D, aux souvenirs de guerre et au brassage sonore. Reportage et rencontre avec quelques acteurs clés.

Beyrouth
Dimanche 5 avril dernier, minuit. Mazen Kerbaj annonce la fin du Festival Irtijal devant une foule encore électrisée par la prestation des rockeurs canadiens Suuns. L’iconoclaste joueur de trompette tend son doigt vers l’affiche du festival international de musique expérimentale qu’il a cofondé: «Le 15 qui suit Irtijal, précise-t-il, signifie que l’édition 2015 est aussi la quinzième, ce qui en fait le festival ayant la plus grande longévité au pays du Cèdre!»
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Testez-nous
3.- pour un jour