Le premier roman de Matthieu Zaccagna s’avale comme les kilomètres que son héros parcourt. Asphalte, c’est la fugue d’un mineur, composée dans un mode majeur.
Cette chronique littéraire a été écrite par une étudiante en Lettres de l’université de Genève, dans le cadre d’un atelier d’écriture animé par Magali Bossi et Natacha Allet.
Documentariste, photographe, journaliste, elle est désormais écrivaine et refuse de voir les questions sociales sombrer dans le marais de l’indifférence.
Dans Grande Couronne, la journaliste Salomé Kiner brosse le portrait attachant d’une ado de banlieue qui ira (trop) loin pour réaliser ses rêves consuméristes.
A la croisée de l’intime et du politique, Nedjma Kacimi dissèque les contradictions d’une France toujours malade de son histoire algérienne. Poétique et percutant.
Premier roman de Natacha Sadoun, L’Evanouissement de Marie raconte le choix d’une femme de s’éloigner de son compagnon, en direction d’une nouvelle histoire.
Avec son premier roman, Souvenirs en similicuir, Nadia Boehlen explore les thèmes de la quête de l’identité, de l’ancrage social et de la place des femmes dans la société.
On rit beaucoup dans Emmerdeuse, le premier roman de la Valaisanne Laure Tuia qui sillonne avec causticité les coulisses du microcosme médiatique romand.
Nous découvrons l’histoire passionnante et touchante de ces quatre femmes qui aspirent à une vie meilleure. Leurs chemins se croiseront en cette journée de votations grâce à un garçon de dix ans placé ...
Toccata (pour personnages) en italique, de Sylvie Délèze, est un petit livre impertinent, un brin foutraque, qui dynamite joyeusement les frontières entre réel et littérature.
Dans Le Stradivarius de Goebbels, Yoann Iacono retrace l’itinéraire de Nejiko Suwa, musicienne qui s’est produite devant des hauts fonctionnaires nazis au nom de l’amitié...
Autrice et journaliste, Elena Sartorius a publié Une Baie tranquille à Porto Rico. La narratrice, forcée de se reposer sur cette île après un accident, livre son avis sur le monde et la vie.
Avec un roman et les récits de vie d’immigrantes et immigrants italiens à Lausanne, Emmanuelle Ryser double les occasions de partage autour de l’écriture.
Marieke Lucas Rijneveld explore le deuil et la violence des non-dits dans l’extraordinaire Qui sème le vent. Poétique et dérangeant, le roman a reçu l’International Booker Prize 2020.
Partir ou rester en Hongrie? Avec l’Anatomie d’une décision, Anna Szücs brosse un tableau personnel d’un moment charnière pour l’histoire d’un pays et d’une famille.
La petite dernière, c’est Fatima Daas, un autoportrait fragmentaire, un chant rythmé sur l’identité, le genre, l’origine, le lien entre amour et écriture.
Heike Fiedler imagine la rencontre fictive entre quatre créatrices à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Une méditation fragmentaire sur la guerre et la paix tissée à la réalité contemporaine.