Mémoire et résistance
Aujourd’hui plus que jamais, les rencontres cinématographiques palestiniennes viennent rappeler que «filmer c’est exister». Rencontre avec deux piliers du festival genevois.
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Aujourd’hui plus que jamais, les rencontres cinématographiques palestiniennes viennent rappeler que «filmer c’est exister». Rencontre avec deux piliers du festival genevois.
A Genève, la 14e édition des rencontres cinématographiques Palestine: filmer c’est exister (PFCE) débutera le 26 novembre et se tiendra jusqu’au 30 novembre aux cinémas du Grütli et au Musée d’ethnographie de Genève (MEG). Au programme, 22 films réalisés entre 1960 et aujourd’hui.
Les rencontres du cinéma palestinien présentent le documentaire Avant il n’y avait rien, projet avorté qui se mue en quête des origines.
Du 28 novembre au 2 décembre, les Rencontres cinématographiques «Palestine, Filmer c’est exister» proposeront 26 films dédiés à Gaza, au camp de réfugiés de Jénine et aux jeunes réalisateurs.
A Genève, les rencontres du cinéma palestinien s’avèrent plus nécessaires que jamais. Démonstration avec deux documentaires et une comédie.
Aux rencontres du cinéma palestinien, début décembre à Genève et ailleurs en Suisse romande, un documentaire féministe et trois courts métrages célèbrent l’esprit de résistance.
Le témoignage filmé de Mohamed Jabaly sur la seconde Guerre de Gaza est à voir au festival «Filmer c’est exister» qui débute ce soir.