A Genève, les élèves de l’ECG Henry-Dunant se sont pris au jeu d’un atelier sur «l’absurdité» de l’existence, par Pierre Martot, qui portera Le Mythe de Sisyphe de Camus à Avignon.
La Poésie de l’échec de la Suissesse Marjolaine Minot épingle l’hypocrisie et les non-dits familiaux avec un humour facétieux. A l’affiche du festival Off d’Avignon, avant la Suisse.
Dans la Cour d’honneur à Avignon, avant la Comédie de Genève en mars, la metteuse en scène
Julie Deliquet montre la réalité sociale poignante de Welfare filmée par Frederick Wiseman.
Am Stram Gram a pris ses quartiers dans la Cité des Papes. Sous la direction de Joan Mompart, l’équipe artistique joue Oz trois semaines au théâtre le 11·Avignon, scène phare du Off.
Le nouveau directeur du Festival d’Avignon, Tiago Rodrigues, donne une note populaire, sociale, féminine et décolonisée à la manifestation, du 5 au 25 juillet.
Mélina Martin se glisse dans la peau de la plus belle femme du monde pour questionner l’amour, le mariage et le viol. Puissante traversée tragi-comique à Avignon.
Reportée l’an dernier, la Sélection suisse en Avignon est fin prête pour accueillir son public du 7 au 26 juillet. Les projecteurs sont désormais braqués sur le théâtre après la victoire...
A Avignon, La Maison de thé intrigue tel un mauvais rêve, théâtre viscéral et kitsch issu de l’Etat totalitaire de Xi Jinping. Une première chinoise en septante-trois ans de Festival.
La 4e Sélection suisse s’est ouverte officiellement mercredi avec Helen W, suivie de Nirvana, performance de Delgado Fuchs et Phèdre!, une des pépites du Festival In.
Ovationnée à Avignon, avant La Comédie de Genève, la metteure en scène brésilienne Christiane Jatahy livre son spectacle le plus personnel et politique avec Le Présent qui déborde.
Tiphanie Bovay-Klameth, Joël Maillard, Philippe Saire, Cindy Van Acker et Christian Lutz, Phil Hayes et Latifa Djerbi font partie de la Sélection suisse en Avignon 2018, qui démarre ce vendredi.
À Avignon avant La Bâtie, la Flamande Lisbeth Gruwez fait du corps le sismographe d’une culture de la peur pas prête de s’essouffler. Magistral et somatique.
Du scénario des Damnés de Visconti, le metteur en scène belge Ivo van Hove tire une fresque familiale sur la montée du nazisme aussi démoniaque qu’éblouissante.