Si la co-intervention mise en place à la rentrée est intéressante, elle nécessite un changement profond de fonctionnement, estime une spécialiste. Genève n’y est pas encore.
Une dizaine d’enfants autistes n’ont toujours pas pu faire leur rentrée scolaire, qui était pourtant prévue ce lundi 28 août. Les parents affrontent une nouvelle semaine sans prise en charge.
Le dispositif relais à mi-temps, prévu pour une vingtaine d’enfants autistes mis sur liste d’attente, ne sera opérationnel qu’une semaine après la rentrée officielle.
Désorganisation et explosion des besoins ont plombé l’Office médico-pédagogique, selon sa direction intérimaire. Elle passera le relais à un consultant qui doit mener la réforme.